De robe rubis au liseré tuilé, il est timide au nez, avare de fruit, avec des rappels de chêne vanillé, de mine de crayon & de grenier poussiéreux. En bouche, il déçoit terriblement l'amateur de saint-émilion. C'est un vin de tonnelier, trop léger, plat, court, peu fruité - une touche de pruneau - âpre, avec des tanins asséchants, sans caractère, sans aucun charme, complètement dominé par le bois : un peu de douelles avinées, des notes fugaces de rafle - renfrogné - presque médocain dans le pire sens du terme & indigne de son classement mais buvable, sans plus. Le prix assez élevé & variable - de 60 € à 225 € - ne se justifie pas. ( PVP : 40 € )

     En atteignant le rang de 1er Grand Cru Classé B, Château Pavie-Macquin est devenu spéculatif - 95 €, puis 111 € & enfin 203 € - ce qui rappelle une plaisanterie du Bourguignon Hubert de Montille : - Les Bordelais font du vin non pas pour être bu mais pour être vendu.

     De color rubí con ribete teja, tiene una nariz tímida, parca en fruta, con recuerdos de roble avainillado, de mina de lápiz y de desván polvoriento. En boca, decepciona terriblemente al amante del Saint-Emilion :  es un vino de tonelero, demasiado ligero, plano, corto, poco afrutado - un toque de ciruela pasa - áspero, con taninos secantes, sin carácter, sin ningún encanto, completamente dominado por la madera - algo de duelas envinadas, notas fugaces de raspón - enfurruñado, casi medocano en el peor sentido de la palabra e indigno de su clasificación pero bebible, sin más. El precio bastante alto y cambiante - de 60 € hasta 225 € - no se justifica. ( PVP : 40 € )

     Al alcanzar el rango de 1er Grand Cru Classé B,  Château Pavie-Macquin ha llegado a ser especulativo - 95 €, luego 111 € y por fin 203 € - lo que recuerda una broma del borgoñés Hubert de Montille : - Los Bordeleses no hacen vino para ser bebibo sino para ser vendido.